WMT #18 - La vie dure
Le 2ème choix. La bouteille de lait. L'outil qui fait tout. Le State of Flow.
Quelle semaine incroyable !
J’ai eu des échanges fous et passionnés avec beaucoup d’entre vous.
Merci pour ça.
En ce moment on est en plein dans l’organisation du Talent Acquisition Showdown 2024, et je vais vous en parler encore parce que c’est vraiment un moment important pour nous.
On a fait gagner des places sur Linkedin cette semaine, et maintenant c’est à vous.
Si le sujet de la Data dans le recrutement vous intéresse, à vous de jouer :
🚨 Je mets en jeu 2 places à gagner pour cet événement, uniquement pour vous qui êtes abonnés à cette newsletter.
Rien de compliqué pour jouer, il suffit de partager cette newsletter sur Linkedin (et de tagguer Jean-Marie Caillaud pour que je puisse le savoir !)
Et tous ceux qui joueront gagneront à minima quelque chose.
Allez sans transition la suite : quoi de neuf en Recrutement, Marque Employeur, et Psychologie du travail cette semaine ?
Quand le candidat sent qu’il était votre 2ème choix
“Il est bien, mais j'aimerais en voir d’autres.”
Une étude récente s’est intéressée à l’impact sur l’intégration sociale au sein de l’entreprise pour les candidats qui savent qu’ils n’étaient pas le premier choix.
Et bien, les nouveaux embauchés qui pensaient ne pas être le premier choix s’intègrent plus difficilement dans l’entreprise.
Plus dur encore, cette difficulté d’intégration perdure dans le temps, elle ne se résorbe pas.
Et cerise sur le gâteau, même le fait d’avoir un manager qui tente de vous inclure et de valoriser votre avis ne change pas l’écart d’intégration sociale avec ceux qui se pensent être le premier choix.
Comment les candidats peuvent-ils le savoir ?
Et bien, les candidats ne sont pas idiots. A partir du moment où le process ralentit, tarde, où il ne se passe rien, ils commencent à avoir des doutes.
Pire, la fameuse phrase : “la manager a beaucoup aimé votre profil, mais elle a besoin de rencontrer d’autres candidats pour se faire une idée”.
Et boum. Toi tu penses que le process est normal, parce que c’est même sain dans une évaluation de recrutement que de comparer des candidats pour avoir une sorte “d’échantillon de référence”.
Mais le candidat, il ne le prend pas comme ça. Il entend “la manager n’a pas été assez convaincue par mon profil, et elle cherche si elle peut avoir mieux”. Ce qui n’est souvent pas faux.
Donc même si vous revenez vers le candidat au final (et qu’il est encore dispo et intéressé), c’est trop tard, le mal est fait.
Et puis même une fois arrivés, il y a parfois des signes, des remarques. Les gens parlent, et ne se rendent pas compte de l’impact de leurs propos.
Comme une blessure douce, lente et sinueuse, l’idée que l’on n’était pas le premier choix vient remettre en cause votre appartenance au groupe.
Si vous n’étiez pas le premier choix, êtes-vous vraiment à votre place ?
C’est comme le jour où mon fils est rentré tout triste de la maternelle, en me disant :
“Machine a pas voulu être mon amoureuse.
- Ah bon, je suis désolé. Mais tu lui as dit quoi ?
- Je lui ai dit qu’elle était ma 3ème fille préférée dans l’école.
- Ah oui, ok. Bon attends, faut qu’on parle…”
Voilà, ça ne vous viendrait pas à l’idée de faire passer ce message.
Alors pourquoi on ne fait pas tout pour garantir que les candidats se sentent choisis et désirés ?
Vos candidats ont envie de se sentir uniques.
Vos candidats veulent sentir que vous avez vraiment envie de travailler avec eux.
Et vos candidats veulent se sentir à leur place.
Parce que chaque vie est unique, chaque expérience de recrutement doit être ressentie ainsi.
Un Outil à bookmarker
Aujourd’hui je vous présente un outil qui compte pour plus de 200 outils.
C’est le super TinyWow.
Vous voulez modifier un pdf rapidement ? Il le fait.
Vous voulez extraire le texte d’un pdf proprement ? Il le fait.
Vous voulez créer des textes pour présenter vos photos Instagram ? Il le fait.
Vous voulez récupérer transformer une video Youtube en texte ? IL LE FAIT AUSSI.
TinyWow il est tout petit, mais c’est un monstre, il est super complet.
C’est un peu un couteau suisse virtuel à garder sous la main.
Attention, comme tous les outils gratuits en ligne, à ne pas lui confier des données confidentielles : par principe, soyons prudents.
A garder dans nos favoris !
Mais au fait Papa, c’est quoi cette bouteille de lait ?
Tu vois cette bouteille ? Et bien quand tu l’ouvres, voilà ce que tu peux y trouver :
Si tu veux structurer ta Talent Acquisition, tu peux demander un diagnostic Recrutement. Tu apprends tes forces, tes axes d’amélioration par rapport à ton marché, mais surtout tu auras des conseils concrets et pragmatiques que tu n’auras pas ailleurs.
Si tu veux former tes équipes Recrutement ou tes Hiring Managers, tu auras accès à des programmes sur mesure pointus et ludiques qui fera clairement monter le niveau. 97% des personnes formées recommandent la formation !
Si tu veux avoir un coup de main, avec du support à temps partiel de quelqu’un d’expérimenté qui t’aidera à structurer tes projets et / ou tes équipes, et te facilitera la vie. De 1 à 3 jours par semaine, ou avec des enveloppes de temps sur mesure.
Si tu veux recruter des super profils, mais que tu n’as pas le temps ou la possibilité de le faire, et bien tu confies ton recrutement à WorkMeTender. 99% de réussite sur les recrutements effectués !
WorkMeTender, ça se boit comme du petit lait. Et ça fait grandir.
On prend RDV ? J’attends votre réponse à ce mail.
Un recruteur trop cool = 1 pipeline vide ??
Un recruteur à qui on n’en demande pas assez, c’est un recruteur qui sous-performe à long-terme.
Non, c’est pas moi qui le dis, c’est la science !
Attention, il y a un contexte et des raisons à ça.
N’allez pas doubler la charge de travail de vos recruteurs pour autant !
Curieux/se de savoir de quoi il s’agit ?
Le 10/09 à 14h15, John et moi les Two Tired Dads Talk Talent & Tech aborderons le sujet du "State of Flow".
Inscrivez-vous ici pour suivre ce Linkedin Live !
Ça s’est passé sur Linkedin cette semaine
😱 Thomas Delorme a trouvé une entreprise qui demande aux candidats de liker leur page Facebook pour augmenter leur chance d’être recrutés !
🤔 Nicolas Revol s’interroge sur la pertinence et l’efficacité du bandeau “Open To Work”
🤣 Un candidat a essayé de me berner en utilisant ChatGPT en entretien téléphonique… je vous raconte !
“Nous appellerons émotion une chute brusque de la conscience dans le magique.” (Sartre)
Remerciements :
Merci à vous qui interagissez avec mon contenu ici ou sur Linkedin, et particulièrement celles et ceux que j’ai vu passer Agnès Flouquet-Vilboux, Florence Rubio, Dino Makhloufi, Evan Adeny, Jérôme Mainaud, Nabiha Hamel, Ben Latour, Sylvaine Gombert, Florent Letourner, Paul Bachelier, Thibault Martin, Jérémy Perrad, Ghislain Fouché, Arnaud Lahy, Giliane Doni, Joanna Bouy, Laurent Brouat, Margot Robine, Marc Guiraud, Pierre-Arnaud Bouyer, Charlie Chevaillier, Priscilla Ravelojaona, Pierre-André Fortin, Laura Villemin, John Hazelton and the phenomenal Melody Andrade.
C’est tout pour aujourd’hui ! Si ça vous a plu, pensez à partager à vos collègues !
💡 Mais pas à n’importe quelle heure ! Saviez-vous que fixer des heures de travail précises à vos collaborateurs peut augmenter la productivité de 67% ?
Oui, on est nombreux à vouloir de la flexibilité, mais il se trouve que d’avoir des horaires où l’on est sûrs de pouvoir trouver nos collègues, et des horaires où l’on n’est sûrs de ne pas avoir à travailler (par exemple en formalisant le droit à la déconnection), et bien ça rassure et ça augmente la productivité pendant les heures de travail fixées.
En même temps, lire cette lettre est-ce que c’est pas déjà investir dans sa productivité ? ;-)
Prenez soin de vous,
Jean-Marie Caillaud, de WorkMeTender
PS : message spécial aux parents qui finissent la semaine de rentrée scolaire : vous aussi, buvez du lait 😂